[Flash-Back] Il était une deuxième fois

Messages : 221 Date d'inscription : 24/11/2011

Elle adorait cette vue. C'était une des raisons principales pour lesquelles elle jouait au Quidditch. La liberté qu'on éprouve dans les airs n'existait nulle part ailleurs, encore moins la sensation d'invincibilité que cela lui procurait. elle alla vers le bord de la tribune et ferma les yeux en écoutant la remarque de Berlioz, profitant de l'air qui filait entre ses cheveux, qui lui donnait l'impression de voler.

"il y a plus que ça... Tu as vu le film Titanic? il est sorti il y a peu!!"

Elle grimpa un peu sur le bord de la tribune et ferma les yeux.

" Quand tu es ici... Il n'y a plus de limites... tu es invincible!!"

Elle rouvrit les yeux et le regarda, elle souriait et un réel bonheur se lisait dans son regard.

"Essaye!!"

Admin

Titanic Oo Diana Sunden connaissait un film Moldu. Il ne l'avait pas regardait mais sa petite soeur l'avait assez bassiné avec pour qu'il sache de quoi il en résultait. Bien évidement cela ne plaisait guère à leur père, qui n'appréciait pas du tout que ces enfants puissent trouver dans la culture moldu de vif centre d'intérêt.

Alors lorsqu'elle monta sur la rambarde de la tribune et qu'elle ferma les yeux durant quelques secondes, il se mit à rire doucement. Et lorsqu'elle l'invita à essayer, il se souvint de ce que sa soeur lui évoquait en permanence depuis quelques mois.

Le héros venait se caler derrière cette belle femme à la crinière rousse et lui murmurait une drôle de chanson à propos d'une certaine Zéraphine ou Joséphine. Il ne savait plus à vrai dire. Ce qu'il se souvenait c'est que sa petite soeur lui expliquait alors que c'était lors de cette scène qu'il offrait son premier baiser à sa Rose, où était-ce Rose le prénom de cette femme?!? Il n'en savait pas plus.

Partant alors dans le délire de Diana, à son invitation il vint se caler derrière elle, et attrapa ses mains pour adopter alors la même posture que les deux héros du film moldu.

Se mettant à fredonner un air quelconque, il se mit à rire doucement et murmura à son oreille...

Ma connaissance ne va pas plus loin dans ce chef d'oeuvre...

Chef d'oeuvre?!? Il ne le savait pas vraiment mais il connaissait l'effet qu'avait ce film sur la gente féminine.

... Et je risquerai de te décevoir...

Il rit à nouveau...

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Que penseraient les gens s'ils savaient que la Reine des Glaces avait versé la moitié des larmes de son corps en visionnant ce film?? C'était mignon, tendre, naïf... vraiment adorable. Le genre de film que les filles aimaient évidemment mais qui n'attirait jamais l'attention des hommes.

Elle fut surprise lorsqu'il se plaça derrière elle. Lorsqu'elle l'invitait a faire comme elle, cela signifiait plutôt qu'il pouvait aller à côté et faire de même... Là, ses mains sur les siennes, sentir son torse contre son dos, l'entendre chantonner et murmurer. Elle ne put retenir un frisson lorsqu'il murmura à son oreille et tenta de détendre l'atmosphère en riant.

"Après, le héros embrasse sa belle, mais c'est sans importance... ce qui compte, c'est la sensation du vent"

Elle sourit et commanda à son coeur d'arrêter de battre aussi fort,.

Admin

Mais qu'était-ce déjà que cette chanson que le héros fredonnait... Brennan ferma les yeux, se laissant aller à ses souvenirs. Il revoyait alors sa petite soeur mimer la scène avec sa mère et entendait cette dernière chantonnait d'une voix amusée et douce...

"Viens Joséphine dans ma machine qui vole,
Qui vole..."

Il sentit alors une brise parcourir ses cheveux et rouvrit alors les yeux lorsque Diana reprit la parole. Cette dernière lui indiquait alors que la suite de la scène amenait les deux protagonistes du film à échanger leur premier baiser, il sentit alors son coeur bondir à nouveau et sans même dire un mot en réponse à sa réplique il se mit à fredonner... Les paroles lui revenant alors...

Viens Joséphine dans ma machine qui vole,
Qui vole s'envole, comme une folle...

Il rapprocha alors leurs mains vers son corps et la fit en sorte que Diana tourne son visage vers lui...

L'instant, il le savait était étrangement semblable au film, mais sur l'instant il n'avait envie que d'une chose, c'est d'elle. D'elle!! De Diana Sunden!

De ses lèvres... D'être près d'elle... Il ne comprenait pas ce qui se passait entre eux, mais pour la toute première fois de sa vie, il avait l'impression que son coeur allait exploser tellement il avait envie de l'embrasser...

Il approcha alors son visage près du sien, et...

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Elle fut surprise qu'il se rappelle des paroles que même elle semblait avoir oubliées. Elle se souvenait de l'impatience ressentie à ce moment du film, pendant lequel sa soeur et elle repetaient: vas y, embrasse la!!! Et quand enfin le baiser eut lieu, l'étrange mélange d'attendrissement ef l'accomplissement. Si on lui avait dit qu'elle rejouerait la scene de son côté, si on lui avait dit qu'elle se sentirait si bien dans ses.bras, si on lui avait dit que son.parfum la ferait defaillir et que cette proximité la ferait craquer, elle aurait probablement ri.

Mais alors qu'il la tournait vers lui et rapprochait ses lèvres des siennes, elle n'avait pas envie de rire. au contraire, ce qui lui aurait semblé ridicule, ça aurait été de ne.pas briser cette distance. Alors malgré ses nombreux principes, elle le fit. Elle posa ses lèvres sur les siennes. Un baiser chaste d'abord, qui s'approfondit tendrement après.

Décrire l'état dans lequel elle se trouvait est impossible tellement il se passait dans sa tête, dans son corps. Ce feu d'artifice dans son estomac, ces étoiles dans ses yeux, cette sensation que son coeur ne battait plus... C'était plus fort que tout. Et ce fut presque à contre coeur qu'elle detacha ses lèvres de celles de Berlioz, à bout de souffle.

Admin

Elle brisa la distance... Lui qui ne voulait pas lui forcer la main et qui lui avait encore laisser le choix de briser cette instant, fut surprit qu'elle ne le fasse pas et qu'elle l'accélère. Lorsqu'elle déposa ses lèvres délicatement sur les siennes, il crut qu'il allait mourir. Jamais il n'avait ressentit ça auparavant, jamais il n'avait sentit son coeur défaillir à ce point.

Sa mère lui avait toujours parlé du grand amour et de cette sensation, si étrange soit-elle, qui envahissait le corps tout entier lorsque l'on trouvait l'être aimé. Il ne l'avait jamais vraiment cru, du moins jusqu'à maintenant. Car en cet instant le monde aurait pu s'écrouler qu'il n'aurait interrompu ce baiser pour rien au monde.

Et dire qu'il y a encore quelques semaines Diana et lui ne se parlaient pratiquement pas et qu'il ne soupçonnait pas ces petits papillonnements lorsqu'il la regardait d'être plus que ce qu'il voulait bien se l'admettre.

Leur premier baiser fut tendre et timide, mais le suivant fut plus passionné et plus long et il aurait voulu que ce dernier ne se termine jamais, mais le manque de souffle les firent se stopper. Et tout en reprenant son souffle, il ne put s'empêcher de plonger son regard dans le sien et de caresser son visage. Elle était si belle et l'instant était si irréel.

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Elle n'en revenait pas de ce qu'elle venait de faire. Elle venait d'embrasser Brennan Yeaxcley, sans aucun type de calcul ou quoi que ce soit... Elle avait eu envie d'embrasser Berlioz, cette envie qui la prenait du plus profond qu'elle même et qui lui faisait sentir qu'elle aurait du se frapper elle-même pour ne pas le faire. C'était si nouveau...

Comme une sensation de chaud et pourtant de froid, les deux en même temps... Elle brûlait de l'intérieur maiselle n'avait jamais eu autant conscience du froid qu'il faisait dehors. Elle se sentait presque malade, comme si tout son estomac était soudain devenu fragile.

Elle ne savait même pas quoi lui dire en le regardant, parce qu'elle n'avait aucune idée de ce qu'il s'était passé à cet instant bien précis, ni même comment cela s'était passé. Et il y avait en elle cette sourde peur qui lui disait que ce genre de sentiments, il valait mieux s'en méfier... Mais là, elle ne s'en sentait pas capable. La voix un peu rauque, elle murmura juste.

"On ferait mieux d'y aller."

Admin

Il fut alors surpris lorsqu'il vit à plusieurs reprises son regard se voiler. Il ne savait pas ou ne comprenait pas ce qui pouvait se passer dans la tête de Diana. Regrettait-elle?!? Ou avait-elle autant aimé que lui?!? Tout ce qu'il savait c'est que soudainement son expression faciale avait changé.

Elle interrompit même l'instant en lui indiquant qu'ils devraient peut être y aller. Comme un sorte de claque virtuel, il se rendit compte qu'il avait peut être été le seul à vivre cet instant de cette manière.

Il descendit alors de la rambarde et l'observa, soudainement rattrapé par le froid de cette journée printanière.

D'accord, nous devrions rentrer, tu as raison!

La déception s'entendait parfaitement dans sa voix et cette dernière était de suite plus distante et froide qu'auparavant. L'observant durant quelques secondes, il lui ouvrit le chemin d'un geste de la main et détourna alors le regard.

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Elle ne savait pas exactement quoi faire. Comme les autres fois, elle avait cette impression de faire un pas en avant et 10 en arrière... Elle était brutale et froide, elle ne savait pas gérer ses émotions et cela l'agaçait, parce qu'elle voyait la déception qu'il éprouvait. Mais comprendrait-il seulement si elle tentait de lui expliquer?

Elle décida alors de prendre le ton de la plaisanterie, peut-être que ça passerait mieux.

"Je pense que nous avons assez imité ce film!"

Elle prit une voix amusée en descendant de cette rambarde et elle le regarda détourner le regard. Cela la dérangeait un peu, elle ne savait pas exactement ce que lui avait éprouvé et qui sait, chez lui c'était probablement juste un bête mimétisme. Elle resserra sa cape autour d'elle et avança.

Admin

Imiter ce film!! Alors elle pensait qu'il n'avait fait que cela. Imiter ce film. Sur l'instant il ne réagit pas mais lorsqu'elle passa à sa hauteur, il lâcha d'un ton assez sec, du moins plus sec qu'il ne l'aurait imaginé.

Peut être que pour toi il ne s'agissait que d'imiter, mais ce n'est que ton point de vue.

Il était idiot! Idiot d'avoir cru que ce baiser représentait plus aux yeux de la reine des glaces et il s'en voulait d'avoir été si imbécile. Foutu coeur!!

Il lui emboitât alors le pas, cherchant même à passer devant elle pour pouvoir en finir plus vite avec cette foutue situation dans laquelle il s'était mis.

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Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, encore moins lorsqu'il disait des choses pareilles, plus que aptes à la troubler. Elle le regarda passer devant elle, sans trop comprendre où elle se trouvait, ni exactement ce qu'elle faisait. Elle s'arrêta.

"Alors c'était quoi exactement?!"

Admin

Comme tu l'insinues si bien, ce n'était qu'une pauvre scène d'un film jouait par deux sorciers qui admirent un peu trop parfois le monde des Moldus.

Il continua à avancer sans même voir qu'elle s'était stoppée lors de sa réplique. Son ton était resté sec et dur à la fois, mais après tout sur ce coup il se trouvait juste pitoyable d'avoir était aussi faible.

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Elle ne bougeait plus, interdite, sans savoir ce qui se passait dans sa tête. Elle l'appela.

"Berlioz!! C'était quoi pour toi?"

Admin

Arrêtes de m'appeler Berlioz!!

Les mots sortirent plus vite et plus fort qu'il ne l'aurait voulu. Il se stoppa net et se retourna vers Diana, il remarqua alors qu'elle était encore au même point que lorsqu'il était passé devant elle.

Il l'observa durant quelques instants, luttant contre la colère qui l'envahissait, la peine qui le submergeait et ce sentiment étrange qui naissait en lui depuis leur baiser.

Et toi? De quoi s'agissait-il? D'un jeu de plus avec ce pauvre serpentard qui ne représente pas assez bien les tiens?

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Cela la blessa, la manière dont il lui dit de l'arrêter Berlioz. C'était blessant parce qu'elle savait que ce nom voulait dire qu'ils étaient amis, qu'il y avait entre les deux quelque chose qu'il n'y avait pas avec les autres de sa maison. Elle avait bizarrement mal, elle espérait que cela ne se lisait pas sur son regard. D'une voix rauque et presque désespérée elle lâcha:

"Je ne sais pas ce que c'était!!"

Et ça c'était sincère, mais le voir si en colère avec elle, entendre la manière dont il lui avait dit qu'elle arrête de l'appeler Berlioz l'avait blessée et à son tour elle partit, mais dans l'autre sens

Admin

Elle ne savait pas ce que c'était?!? N'avait-elle donc rien ressentit?!? Son coeur n'avait-il pas, comme le sien, fait un bond lorsque leurs lèvres s'étaient touchées?!?

Il n'eut même pas le temps de réagir, qu'elle partit à son tour en trombe mais à l'opposé de lui.

Il resta là à l'observer, à se demander si il n'était pas mieux pour lui d'en faire de même et de ranger cet épisode dans le tiroir des "pertes et fracas" de sa vie. Cependant son esprit ne le laissa pas fuir et le poussa à continuer encore... Quitte à souffrir encore plus.

Enchaînant le pas sur elle, il revint rapidement à sa hauteur et continua.

Tu ne sais pas!! Lâcha-t-il vivement...

Ehhh bien moi je le sais!!

Il passa devant elle et lui barra le passage, tout en la stoppant.

Moi je sais ce que j'ai ressenti à l'instant même où tes lèvres ont frôlé les miennes.

Il parlait à vive allure ne voulant pas la laisser se détourner de la situation.

Mon coeur s'est tout simplement arrêté, comme si soudainement pour la première fois je comprenais ce que voulait dire le mot vivre et ressentir. Mon corps tout entier a réagit à ce baiser. Et pour la première fois j'ai eu peur de toi. Peur de ce que tu es capable de faire ressurgir chez moi. Peur de voir à quel point en si peu de temps je suis chamboulé par ta présence.

Peur de me dire que je tiens de plus en plus à toi à chaque fois que je plonge mon regard dans le tien.

Alors peut être que toi tu ne sais pas, où que tu ne veux pas savoir. Mais de nous deux je suis celui qui admet le plus que ce qui s'est passé là-bas était bien plus que le simple mimétisme d'une scène d'un film à l'eau de rose.

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Elle l'écouta attentivement en réalisant qu'il avait bel et bien ressenti les mêmes choses qu'elle. Que c'était avec précision qu'il décrivait cette folle sensation qui avait envahi sa poitrine, alors c'était donc peut-être bien ça... Elle s'attachait à lui, elle tenait à lui. C'était dangereux et après tout...

"Bon, alors... Si tu en as peur, peut-être que c'est mieux que ça en reste là."

Elle n'en avait pas du tout envie, loin de là, alors qu'il était si près et qu'il lui parlait, qu'il se laissait emporter par ce qui l'animait, elle le trouvait de plus en plus beau et n'avait envie que de reprendre ses lèvres à nouveau pour ne pas les quitter. Elle lui fit un petit sourire.

"On n'aurait peut-être jamais du se laisser aller à ce genre de choses, nous sommes des adolescents, ce sont les hormones qui parlent plutôt que nous. Je suis sûre que ça passera, que c'était juste le moment, le vent, la vue, l'allusion au film. J'en sais rien, mais c'était quelque chose qui faisait que... Ce n'est pas possible autrement."

Elle parlait à haute voix, mais c'était plus comme si elle tentait de se convaincre elle-même de cela, bien qu'elle n'y croie qu'à moitié.

"ça arrive tellement souvent aux autres et pouf, deux jours après, c'est parti!!"

Admin

Elle parlait, sortant toute sorte de théorie pouvant expliquer leur soudain rapprochement. Lui n'avait plus envie ou plutôt pas envie de trop réfléchir à la situation car il savait pertinemment qu'il risquerait de trop se compliquer la vie.

Et même si il était terrifié, il n'hésita pas une seconde. Lorsqu'elle eut fini, il s'approcha d'elle et saisit son visage délicatement avec ses deux mains et l'embrassa à nouveau. Il l'embrassa tout en douceur pour commencer, puis prononça son baiser laissant parler son cœur ou peut être ses hormones comme elle l'avait si bien dit juste avant.

L'échange dura quelques instants. Instants où Brennan ne put sentir que son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine. Puis lorsqu'ils s'arrêtèrent, il déclara la fixant droit dans les yeux.

Si tu as peur que ce ne soit qu'une histoire de deux jours, alors ce baiser sera le point final à notre courte histoire, sinon les cartes sont dans ta main. Même si la peur m'habite, pour ma part je ne renoncerai pas à me plonger dans cette histoire avec toi. A toi de voir!!

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Sa rqaison lui disait dix mille choses. Son coeur lui disait dix mille sentiments différents, mais lorsque Berlioz l'embrassa, de cette manière si douce qu'il avait de le faire, il se fit un silence salvateur, qui lui faisait un bien fou et pus ça avançait, plus elle devait s'avouer que ce qu'il yavait là, c'était aussi de la peur de le perdre, peur de passer à côté de quelque chose de bien.

Alors quand il finit sa diatribe, elle fit de même que lui, elle laissa parler son instinct et son coeur, sans trop savoir ce qui lui arrivait. Elle l'enlaça et reprit ses lèvres entre les siennes. Elle ne savait pas quoi répondre, les mots lui faisaient trop peur, mais ça, ça parlait de lui-même. Elle l'embrassa tendrement aussi, de la même manière qu'il l'avait fait et plus encore. Après, elle resta près de lui et souffla, le regardant dans les yeux.

"Je ne sais pas ce qu'on fait, je ne sais pas où ça nous mène, mais je peux pas m'arrêter de faire ça"

Admin

Lorsqu'elle dit ces paroles, Brennan sentit son coeur exploser. Elle ne pouvait arrêter ce qui impliquait donc qu'elle décidait de se lancer également dans cette aventure. Souriant comme il n'avait pas sourit depuis longtemps il s'approcha d'elle et la souleva avant de la faire tournoyer lentement et de joindre à nouveau ses lèvres aux siennes.

Le baiser dura de nombreuses secondes et devint plus intense au fur et à mesure.